La Performance Organisationnelle au Sommet du Mécanisme National de Suivi sous l’égide de Claude Ibalanky Ekolomba

Le hasard n’a jamais été de mise entre une performance organisationnelle, le bien-être professionnel et l’autosatisfaction pour un travail bien fait. Depuis 2013, l’année de la signature de l’Accord Cadre d’Addis-Abeba dont découle le Mécanisme National de Suivi que dirige le Coordonnateur Son Excellence Claude Ibalanky Ekolomba, un sommet d’une magnitude certaine n’a  jamais été organisé en RDC à l’instar de celui du 24 au 25 Février 2022 pour réévaluer les objectifs de l’Accord-cadre. Qui dit mieux!

Des tweets négatifs et haineux ont été publiés concernant la présence des dignitaires. Les ennemis du bien-être de la RDC avaient déjà sauté le pas pour annoncer la non-participation des Chefs d’Etats africains, des premiers ministres et des délégués des pays signataires de l’accord-cadre. Ils ont été perplexes  de constater que Son Excellence Claude Ibalanky s’est occupé des détails de base concernant leur présence. Aux côtés du président de la RDC, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, six autres chefs d’Etats ont assisté aux assises du sommet, dont son Excellence Yoweri Musevi Kakuta de l’Ouganda, qui a passé le relais au président Tshisekedi en tant que nouveau président du NMM, sans parler du puissant Cyril Ramaphosa, le président de la République d’Afrique du Sud, exception faite du President Paul Kagame dont l’absence est justifiee par les faits a la portee de l’opinion publique. De 13 pays signataires de l’Accord Cadre d’Addis-Abeba, les garants ainsi que les observateurs, 7 ont été conviés au sommet de la cité de l’OUA qui eut lieu aux dates précitées, sous les auspices du MNS-Mécanisme National de Suivi. Cet organe d’accompagnement de la démocratie joue un rôle de premier plan dans l’harmonisation des relations avec les pays de la CPGL, confrontés aux incursions belliqueuses par des bandes armées. Pendant longtemps, elle a été le foyer des tensions qui ont embrasé la sous-région. C’est dans ce contexte que l’Accord Cadre fut signé sous la houlette de l’ONU, l’UA, la SADC et la CIRGL. Il fallut mettre fin aux accusations, parfois fortuites, par les uns contre les autres sur les agressions répétitives de certains états contre les autres, et de l’hébergement des forces du mal par les pays pour leur servir des bases arrières dans le but de lancer les attaques contre les pays de la région et les déstabiliser.

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L’aigle royal, Claude Ibalanky, est un fidèle des fidèles du Président FATSHI; le Coordonnateur du MNS réalise des travaux d’indescriptible ampleur et remplit les missions de fourmi, sans que le commun des mortels ne s’en rende compte; une vraie taupe qui maitrise parfaitement les rouages de la diplomatie secrète dont souvent les aboutissements sont ses œuvres. Il est de tous les rendez-vous du Chef et la furtivité est une arme redoutable à sa disposition. On le prendrait pour un officier de la CIA, Mossad, MI5 ou encore la DGSE au travers ses méthodes de travail ternes et inertes à la surface, mais suffisamment efficaces. Ibalanky aura été pour beaucoup dans le processus de pacification de la partie Est de la RDC. L’implémentation de l’état de siège ne fut proclamé ex nihilo par le Président de la République, sans que le due diligence et autres études de faisabilité eurent été entrepris pour son déploiement. Ibalanky Ekolomba, cet érudit de la diplomatie politique aux envergures nonchalamment taciturnes, y a posé son empreinte de façon indélébile.  

Dans le cadre du récent sommet à la Cité de l’Union Africaine, Claude Ibalanky et son équipe du MNS ont travaillé inlassablement pour assurer une tenue de sommet sans couacs, tergiversations ni ambages. Ibalanky avait déjà fait valoir ses prouesses de négociateur aux côtés de FATSHI pendant que ce dernier était Président du Rassemblement. Claude a utilisé son éventail de réseautage partout au monde pour faire rencontrer le Président avec les décideurs, et autres présidents autour du globe terrestre. Pour ce qui est des préparatifs relatifs au sommet du mois de février, il ne laissa aucune place où sa main passa et repassa; il veillait au grain les déroulements y relatifs pour éviter tout aléa de quelle nature qu’il soit, qui perturberait la sécurité des invités de la République et le sommet en question. Claude Ibalanky Ekolomba a performé  les attributs souvent dévolus au Ministre des Affaires Etrangères. Il a supervisé les contacts de délégations étrangères avec les services congolais d’immigration, aéroportuaires et portuaires afin de rendre leur arrivée, leur séjour et leur départ, les meilleurs possibles. Il en va de même pour l’arsenal du dispositif sécuritaire mis en place pour les invités de la République; les fonctions dévolues au Ministère de l’Intérieur que Claude a voulues remplir dans le cadre de ce sommet.

Pourtant au sein du gouvernement, le Ministre des Affaires Etrangères qui est issu des rangs de l’Ensemble, au sein de l’Union Sacrée de la nation, aurait dû remplir l’arsenal des prérogatives que Claude Ibalanky fit siennes. C’est le souci ubuesque des professionnels chevronnés qui tournent la tête à 180 degré, tel un hibou, pour avoir un regard sur tout et partout. Une évaluation au monitoring minutieusement méticuleux. A l’heure où l’entourage du Chef d’Etat n’est pas en odeur de sainteté avec le peuple, Claude fait merveilleusement bien de s’extirper de ces errements qui morfondent la renommée du Président de la République, et annihilent la visibilité de ses actions. 

Il ressort de ce qui précède qu’en dépit de la présence des éléments pourris dans l’entourage du Président de la République, tous les fruits ne sont pas toujours logés à la même enseigne, ils ne sont pas contaminés par la putréfaction à l’odeur nauséabonde des fruits pourris. Claude Ibalanky démontre par ses multiples faits d’arme que c’est un homme à l’humanité exemplaire ; ce leader a une vision et une expérience avérée dans les milieux d’affaires, politiques, économiques et diplomatiques.  Ce qui fait de lui un lieutenant sui generis, mais fondu aux techniques de la haute stratégie. Les ascenseurs qu’il rend au Président Fatshi ne passent nullement inaperçus. Le boulevard d’opportunités gouvernementales d’être désigné Ministre ou DG d’une des entreprises publique, ne semble guère se refermer d’ici peu. C’est ce qui le distingue de ses pairs et appelle la convoitise.