Olangi Wosho compte faire du christianisme le véritable fer de lance de la lutte contre la pauvrete

Le couple Olangi Wosho compte faire du christianisme le véritable fer de lance de la lutte contre la pauvrete en Afrique.

Le Dr Martin Luther King avait dit: “une eglise qui ne sait pas répondre aux besoin de sa génération est une église qui a échoué à sa mission”. Et Jésus Christ d’avertir: “Je ne suis pas venu pour apporter la paix mais l’epee” (Matthieu 10-34 ). Les lignes prophétiques qui suivent sont destinées à secouer l’Eglise du 21ème siècle qui s’est endormie, mais aussi pour exalter les ministères qui oeuvrent dans la ligne pure du christianisme fondé par Jésus et ses apôtres. En effet, la situation de l’Eglise des temps présents dans le monde est tragique.

C’est une Eglise qui a permis l’”abomination de la désolation”, que Jésus le Maître avait prédite, d’entrer dans le lieu saint: elle a introduit le monde en son sein. Elle véhicule un message mort aux fidèles, un message sans impact positif direct sur leurs vies humaines prises dans toutes leurs dimensions: spirituelles, psychiques et matérielles. Bref, à l’instar du système politique et économique qui opprime les masses en Afrique et dans le monde, elle renforce l’oppression du fidèle et de l’homme en général. Heureusement, une frange de l’Eglise du Christ—un “petit reste”—porte le flambeau de l’amour de Dieu au milieu des hommes; et le Ministère du Combat Spirituel du couple Olangi Wosho en fait partie. Ce ministère lutte pour la restauration du vrai christianisme; il inspire de l’espérance du triomphe des forces de l’Eternel Dieu sur les forces des ténèbres. Nous allons le démontrer dans les lignes qui suivent en décrivant ses oeuvres pour l’édification de l’humain dans ses dimensions verticales et horizontales.

I. RESTAURATION DU VRAI CHRISTIANISME

Le vrai christianisme a été inauguré par le ministère de Jésus Christ, son fondateur. Il dit: “Je suis venu pour que mes brebis aient la vie, et qu’elles l’aient surabondante”. Une vie surabondante signifie celle qui est vécue par l’homme en harmonie avec toutes ses dimensions: le corps, l’âme et l’esprit. Ainsi Jésus, après avoir nourri les foules de la parole de Dieu (pour leur croissance spirituelle), leur donna l’aliment matériel (pour leur santé physique) en multipliant le pain et le poisson. En portant une attention spéciale sur les pauvres, le ministère de Jésus s’est révélé éminemment à la fois spirituel et social.

L’église primitive post-pentecôte de Jérusalem suivit la même ligne. Dans les Actes des Apôtres, il est bien signalé que cette communauté était caractérisée par la solidarité entre les riches et les pauvres; la communauté des biens qui étaient équitablement redistribués par les agents sociaux (diacres) de sorte que personne n’était dans le besoin. Et cette sollicitude pour le pauvre—qui devenait plus aguerri dans la foi puisqu’ayant vaincu l’empire des besoins matériels de base—qui avait fait de l’Eglise primitive la plus grande force sociale de l’Empire Romain au fil des temps, malgré la persécution, au point que trois siècles plus tard, elle gouverna le monde (oikoumené) de l’époque.

Malgré que les temps présents aient assisté à l’éclipse de cette Eglise, entrainant comme conséquence l’introduction au sein de la bergerie chrétienne du capitalisme hideux (les églises étant devenues des entreprises pour faire profit), de la démagogie (exemplifiée par le message tronqué et vide de la prospérité) et de la psychologie (manipulation des sentiments et émotions des fidèles), le vrai christianisme—le christianisme primitif pur—est en train d’être restauré par une partie du corps du Christ, en l’occurrence le Ministère du Combat Spirituel du couple Olangi Wosho, au moyen de la restauration des dimensions verticale et horizontale du fidèle.

1. Dimension verticale du croyant: réconciliation avec Dieu

La dimension verticale du fidèle veut dire sa relation intime avec Dieu le Père, au nom de Jésus Christ. Cette relation implique que le fidèle est réellement né de nouveau—après avoir coupé tous les liens avec la vieille nature encline à la chair et à la corruption, ainsi qu’avec les influences maléfiques de la lignée ancestrale biologique—et est engagé dans la sanctification, la mortification de soi-même, et la gloire de Dieu. Plus que beaucoup d’assemblées, le Ministère du Combat Spirituel édifie la dimension verticale du croyant en exposant la réalite nuisible des coutumes et en mettant l’accent sur la prière intense et le jeune afin de sceller sa libération des liens familiaux néfastes et des solicitations de la chair, par le sang de Jésus verse sur la croix.

2. Dimesion horizontale primaire du croyant: la restauration de la famille nucléaire

La famille est une entité sociale majeure: elle est la cellule de la société, le cadre primaire du développement de l’individu en un citoyen utile à la nation. Raison pour laquelle elle est une cible majeure du Malin, qui est déterminé à la démanteler sur deux angles: la tradition ancestrale africaine et la modernité. D’une part, la tradition africaine enseigne que l’individu demeure totalement une part de la communauté clanique. Ainsi, même lorsqu’il est marié, son clan a le prérogative de lui dicter comment gérer ses avoirs et de s’immiscer dans les affaires de son ménage. Bref, l’individu n’est pas libre. D’autre part, la modernité, influencée par le courant feministe, enseigne une parité des sexes qui ignore la position biologique de l’homme comme la tête du ménage et ainsi menace l’équilibre du foyer. Dans les deux cas, la famille est détruite et le divorce et l’union libre sont devenus banals.

Plus que beaucoup d’églises chrétiennes, notamment celles de la tendance pentecotiste, le Ministere du Combat Spirituel a engagé une lutte acharnée contre les deux stratégies du Malin pour sauver le mariage et la famille nucleaire. Il fait usage de la notion biblique selon laquelle “l’homme quittera son père et sa mère et s’attachera à sa femme, et les deux deviendront une seule chair” pour proclamer l’autonomie et la sacralité de la famille nucléaire (père, mère et enfants) comme une institution divine, pour dénoncer l’ingérence néfaste clanique dans ses affaires et pour stigmatiser les dangers liés a l’invasion de cette entité par les members de la famille élargie: inceste, attaque de la conjointe, incapacité de planifier l’avenir des enfants à cause de l’alourdissement des charges claniques, etc. De l’autre coté, le ministère s’attaque à l’émancipation moderne de la femme en mettant celle-ci à la place lui assignée par le Créateur: la dispensatrice du sang de la vie familiale (affection et attention) au père, la tête de la famille, et aux enfants. Plus qu’aucune autre communauté chrétienne en Afrique, cette croisade du Ministere du Combat Spirituel a restauré beaucoup de ménages, renforce ceux qui sont solides et donne le goût du mariage aux jeunes.

3. Dimension horizontale secondaire du croyant: restauration de la communauté chrétienne comme un capital social

La première communauté chrétienne de Jérusalem, comme indiqué ci-haut, fut un capital social. En d’autres termes, elle fut la meilleure structure sociale à travers laquelle une personne pauvre et vulnérable, en devenant membre, trouvait solution à ses problèmes spirituels et sociaux et était même propulsée vers la prospérité économique. L’Apôtre Paul, le fondateur de ces communautés au-delà de la Palestine, était lui-même un entrepreneur—propriétaire d’une companie de fabrication de tentes—et exigea que tout fidèle travaille et de son travail devienne auto-suffisant. Tandis que de nos jours beaucoup d’églises prétendûment pentecotistes ne font que dépouiller les pauvres fidèles sans rien donner en retour, le Ministère du Combat Spirituel du couple Olangi Wosho est devenu un véritable capital social pour les nécessiteux.

Au premier abord, le couple a crée la Fondation Olangi Wosho qui excelle dans les oeuvres sociales. La fondation est l’agent catalyseur des initiatives d’impact sur les fidèles et la population africaine en général, telles que la Clinique & Pharmacie Rapha, les écoles primaires, l’assistance financière aux étudiants du niveau supérieur et universitaire, et la sollicitude matérielle en faveur des jeunes croyants dans le cadre de la Jeunesse Chrétienne Combattante. Beaucoup d’accomplissements dans le domaine social sont imminents vu la détermination de la fondation pour la cause de l’évangile.

Cependant le Ministère du Combat Spirituel est en train de laisser une grande marque au sein de l’église pentecotiste africaine grâce à la réalisations de ses projets économiques en vue de la création d’emplois et de la lutte contre la pauvreté. Les accomplissements sont à noter dans le domaine de l’agriculture—qui est le secteur primaire de l’économie—et le Projet Dorcas pour le développement des métiers féminins en enterprises privées et en cooperatives, en puissant dans le grand capital humain accumulé dans le cadre de la Communauté international des femmes messagères du Christ (CIFMC). Et ces initiatives économiques sont couronnées par la création imminente d’une banque du Ministère. Cette banque entrainera un développement autocentré de l’économie de la communauté chrétienne tant il est vrai qu’elle va directement financer les entreprises des croyants en dehors du secteur bancaire souvent lourd et corrompu, et dont on ne peut pas faire totale confiance, des Etats africains. En particulier, la banque offrira aux pauvres, dont l’accès au crédit pour les affaires est fermé par le secteur bancaire traditionnel, de petits prêts pour le lancement des microenterprises et des petites et moyennes entreprises (PMEs). Avec cette banque, le couple Olangi Wosho compte faire du christianisme le véritable fer de lance de la lutte contre la pauvreté en Afrique.

II. LECON POUR LES EGLISES PENTECOTISTES

Le Ministère du Combat Spirituel a fait une léçon magistrale aux églises pentecotistes, qui sont à tort appelées ‘églises de réveil’. En recourant à la stratégie des oeuvres économiques et sociales, il les interpelle à retourner à l’Esprit de Jésus et de la première communauté chrétienne de Jérusalem: prendre soin de l’homme dans toutes ses dimensions constitutives, y compris le corps. En excellant dans les réalisations économiques et sociales, il déjoue le piège—dans lequel sont tombées bien des églises ‘de reveil’ en Afrique—de jeter de la graine dans une terre pleine de ronces, c-a-d les soucis du lendemain qui harassent les fidèles et les empêchent de s’engager de tout coeur dans le ministère évangélique et de porter du fruit. Ces églises ont tort de penser que l’oeuvre d’évangelisation se limite à emmener les âmes déchues au salut de Jésus Christ. Car une telle oeuvre est incomplète, semblable à jeter les fondations d’une bâtisse tout en oubliant d’en ériger les murs et le toit. L’on comprend pourquoi l’Eglise chrétienne a du mal à être le sel de la terre de nos jours.

III. CONCLUSION

Maman Elizabeth Wosho et Papa Joseph Olangi—affectueusement appelés Couple Olangi Wosho—sont à la tête d’un ministère qui ramène les chrétiens à la foi chrétienne originelle et authentique, celle initiée par Jésus Christ et répandue au monde du premier siècle de notre ère par ses apôtres—une fois qui exige la communauté chrétienne à donner naissance aux enfants spirituels (les convertis) et à prendre soins d’eux spirituellement, psychiquement et matériellement afin qu’ils deviennent des soldats aguerris dans la transformation du monde en Royaume de Dieu. Ils font la fierté de l’Afrique tout entière et offre la substance dans la nouvelle vague d’évangélisation de l’Occident et du reste du monde par les missionnaires africains. Ils sont des héros du continent noir et méritent notre soutien. Et le Ministere du Combat Spirituel peut servir de canal sur par lequel les institutions du developpement au niveau tant national qu’international allouent les ressources avec la garantie que ces dernières seront réellement investies dans la réduction de la pauvreté et des inégalités en République Démocratique du Congo et en Afrique.

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Ces lignes sont un avant-goût des oeuvres de la foi réalisées par le couple Olangi Wosho pour la gloire de Dieu le Père et le bien-être de son peuple. Afin que le public connaisse davantage sur ce grand ministère divin, AMAGEP a envisagé de publier dans le futur proche une édition d’EurekAfrika Magazine, un livre et un documentaire.