Mr Mukanya bikosa Paul autrement dit JUIF Noir est né le 1er Octobre 1968 à Mbuji-Mayi. Il est fruit de l’union entre Mr Ntambwa Joseph et de Muanji Emérence. Il est de la tribu Luba comme le Président Felix Antoine Tshisekedi. Il partage la vision positive de l’UDPS pour la bonne gouvernance. Juif Noir a un diplôme en sciences commerciales et dans sa profession, il est superviseur chez Lufthansa (Aviation) avec 22ans de carrière déjà en Allemagne. Mukanya est marié et père de 4 enfants. Il vit en Allemagne depuis 32 ans déjà. Il s’enrôle comme politicien, l’initiateur et Président de l’ASBL : LE CONGO AUX CONGOLAIS (LCC). Sa vision est que nous les congolais, nous soyons maîtres de notre destin.
C’est une invitation que l’ASBL le Congo aux Congolais lance à tous les compatriotes congolais se trouvant dans la diaspora afin qu’ensemble nous nous donnions les moyens pour permettre à la reconstruction de notre très cher et beau pays la RDC. N’est-ce pas que dit- on que la maîtrise de son destin fait référence aux notions de liberté, d’autonomie, d’indépendance surtout les plans entre autres intellectuel, économique et politique?
Mukanya appelle les filles et fils du Congo car l’heure du changement est enfin arrivé pour mener des influences afin de barrer la route aux partisans ténébreux qui par manque de vision ont choisi de briller par leur esprit tribaliste au moyen des discours fondé sur l’hôtel de la division. Pour Mukanya, la mission du LCC repose principalement sur une prise de conscience collectif de tous congolais peu importe le lieu où il réside, de son appartenance politique ou religieuse de se joindre à ce mouvement fédérateur qui offre un cadre d’échanges et de réflexions pour la relance du développement de notre mère patrie. Cela se fait dans le but qui permettra au LCC dans sa démarche, son engagement et dans son rôle associatif fédérateur est convaincu que nous diaspora sommes une valeur ajoutée au projet de développement et de l’émergence de notre pays; alors de ce fait nous ne devons plus seulement nous considérer comme source de financement mais comme partenaire potentiel à la reconstruction de notre pays.
Ensemble réuni nous sommes plus fort. Pour les congolais, être citoyen, c’est être conscient que vous êtes un sujet de droits à la vie, à la liberté, à la propriété, à l’égalité, bref, aux droits civils, politiques et sociaux. Mais c’est un côté de la médaille. La citoyenneté présuppose aussi des devoirs. Le citoyen doit être conscient de ses responsabilités en tant que partie intégrante d’un organisme vaste et complexe, qui est la collectivité, la nation, l’État, au bon fonctionnement duquel chacun doit contribuer à sa part. C’est la seule façon d’atteindre le but ultime et collectif : la justice dans son sens le plus large, c’est-à-dire le bien commun.

L’histoire de la République démocratique du Congo montre que la citoyenneté représente une étape du développement humain et le résultat de l’évolution des habitudes culturelles des hommes. Lors de l’examen des statuts congolais, il n’est possible d’observer qu’un seul côté de cette évolution, ou involution, étant donné que la Loi, en tant qu’objet culturel situé dans le temps et l’espace, doit exprimer les valeurs partagées par le corps social, c’est-à-dire, du moins en théorie, les lois doivent représenter la volonté de la conscience collective.
Par conséquent, il part d’une perspective d’analyse des facteurs historiques, à travers la lecture et l’interprétation des textes constitutionnels congolais, afin de comprendre le problème qui se pose aujourd’hui, qui est: comment construire la citoyenneté en sortant du prisme formel des garanties constitutionnelles, en passant à l’efficacité de l’exercice de la citoyenneté critique et réflexive.
Avec l’avènement de l’État de droit un Felix Tshisekedi, il y a une demande objective pour une administration publique honnête, transparente et démocratique, où le citoyen se sentirait libre en fait. Bien que pour beaucoup, l’existence ou la possibilité d’un système éthique universel et absolu soit inacceptable, les valeurs de la démocratie et de la citoyenneté sont bien enracinées dans les sociétés occidentales, bien que, souvent, formellement.
Enfin, voir la piètre qualité de l’éducation nationale comme le principal problème auquel est confrontée la société congolaise peut sembler très évident, mais il n’est pas toujours possible de l’identifier, et encore moins de le comprendre. Il est souligné qu’il est urgent de construire l’identité du citoyen congolais, à travers une éducation visant à la transformation sociale, pour l’amélioration d’une conscience collective. Ce n’est qu’alors que l’on aura la citoyenneté également en soutenant les actions du président Tshisekedi. M. Mukanya comprend que le sous-développement est illustré comme le cercle vicieux de la pauvreté en RD Congo. Les caractéristiques individuelles des pays en développement sont enchaînées dans une chaîne de causes et d’effets. Il devient clair que les différents symptômes de la pauvreté sont interdépendants à partir de Mbuji-Mayi, Kananga et d’autres parties du pays. Selon l’endroit où vous commencez, une spirale commence, un cycle qui ne cesse de revenir au cœur, à la pauvreté comme un ensemble de problèmes. Le régime précédent n’a rien fait pour résoudre ce problème, mais FATSHI et UDPS y travaillent.

Le ASBL ‘Le Congo aux Congolais’ se donne le devoir de combattre les fléaux suivant dans la société Congolaise: Structures d’exploitation, manque d’emplois et de faibles revenus, éducation insuffisante, manque de nourriture et malnutrition, mauvaise santé et maladies (par exemple l’infection par le sida), faible productivité en particulier dans l’agriculture, manque de ressources telles que le sol et l’eau, dégradation de l’environnement, forte croissance démographique, conflit armé.
Le JUIF NOIR estime que les individus font souvent face à de telles situations impuissantes. Cependant, si vous concentrez votre attention uniquement sur ces cercles vicieux, vous courez le risque de ne pas voir d’issue et de ne plus vous interroger sur les causes décisives de cette chaîne fatidique. Les chercher à leur tour uniquement dans les pays en développement eux-mêmes ne tient pas compte des raisons historiques et sociales. En RD Congo, les familles sont contraintes d’abandonner les méthodes de culture traditionnelles et économes en ressources en raison de droits limités ou restreints sur l’utilisation des terres et de la réduction de la superficie agricole en raison du droit successoral ou de la perte de travailleurs. Par exemple, les périodes de jachère sont raccourcies, des terres improductives sont utilisées et le fumier animal n’est plus utilisé comme engrais parce qu’il est nécessaire de toute urgence comme carburant. Le dépassement des limites fixées pour la production naturelle telles que le climat, la qualité du sol ou la forme du terrain entraîne des dommages à long terme au sol ou à la végétation (consommation animale, utilisation de bois de chauffage). Il en résulte une perte de production et de revenus. Cela signifie à son tour que les ressources naturelles sont utilisées de manière plus intensive. Un cercle vicieux commence, qui se caractérise par des symptômes écologiques et sociaux négatifs.
Mukanya appelle tous les Congolais à soutenir son initiative et à se joindre au président Félix Tshisekedi Tshilombo.
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