L’air trempé à l’instar d’une poule mouillée au lendemain du 17 mai 1997 quand il piétine pour la première fois le macadam du Boulevard du 30 Juin à Kinshasa, c’est la tyrannie en perspective. Le prédécesseur du Président Félix Antoine Tshisekedi découvre cette grande artère avec stupéfaction – pas accoutumé à cette petite luxuriance. Bottes en caoutchouc comme pompes à la terminaison de son accoutrement en désuétude avancée pour avoir manqué le rendez-vous avec la douche, il souriait à peine maigrement. Hippolyte Kanambe Kazembere qu’on a appelé plus tard Joseph Kabila Kabange (avec Jeanet, ils seraient jumeaux) quand il a remplacé Mzee Laurent Désiré Kabila en qualité du président de la RDC, est, selon des sources, détenteur d’une paternité dubitative qui le rattacherait à la famille biologique du président assassiné. La principale caractéristique de sa description morphologique tutsie présageait une paupérisation étymologiquement généalogique. Imberbe, taiseux et taciturne, Hippolyte restait étourdi par l’énormité du devoir lui assigné par Kigali, faute de ne maitriser aucun repère d’un territoire aussi grand que l’Europe de l’Ouest. Le congolais ne put s’interroger sur l’essence de ces victoires éclaires de l’AfDL sans combats jusqu’ à Kinshasa. Pour le Sphinx de Limete, Etienne Tshisekedi wa Mulumba, les objectifs de la guerre lui sont restés en travers la gorge. L’Occident mijotait un plan que Kagame devait accomplir en sa qualité de mandataire une fois Mobutu dégagé. Ca n’a pas duré dans le temps !
Quatre ans plus tard – Mission doublement accomplie avec l’assassinant de Mzee Laurent Désiré le 16 janvier 2001 et la cooptation d’Hippolyte Kanambe en qualité du prochain chef de l’état de la RDC. Le successeur de son faux défunt père est un produit d’une cabale sournoisement conclue, comme le déclara la Belgique du haut de l’hémicycle au Parlement que l’Europe est allée chercher un jeune tutsi au Rwanda pour le faire président du Congo et le manipuler par la suite. C’est avec des pommettes saillantes mal galbées – témoins d’une gustation non à satiété qu’il prête pingrement serment dans une tenue vestimentaire d’emprunt sans praticité ni élégance. Un tel déguisement n’échappait pas à sa similitude avec le costume vieilli, ramassé sur une tombe et apprêté par un vieux père du village pour le baptême de son arrière-petite fille un dimanche à l’église. Au secours ! Au Secours ! Francis Kalombo répondit à ce SOS et vint à la rescousse avec des fringues stylées Swag – Jeune Premier, Bon Chic Bon Genre! Nouveau «Kitendiste» sui generis, Hippolyte ne lâcha plus Francis Kalombo qui lui a sorti une certaine luisance de sa physionomie nilotique pendant des lustres. Il deviendra plus tard le pou qu’il fallut écraser, heureusement que Francis s’extirpa de ses griffes pour rejoindre Kampala avant son retour en France où il a été biberonné aux bonnes grâces de Katumbi. L’ingratitude est toujours la récompense de l’ingrat à son bienfaiteur.
Lors du troisième penalty que Moise Katumbi ne voulut que Kanambe tirât à l’orée des élections de 2016, Soriano, fils d’un juif gréco-latin, avait étalé au grand jour le faux et l’usage de faux pratiqué par Hippolyte Kabila Kanambe. Non seulement était-il entré sur le territoire congolais illégalement, il était également détenteur d’un passeport tanzanien. Moise Katumbi pourra aisément corroborer les faits reportés avec une aisance à n’en point douter. Les congolais ont fini par comprendre la raison derrière sa reluctance de ne condamner ni M23 ni RDF pour les attaques de Goma, Bukavu et les tueries perpétrées parmi la population. Hippolyte Kanambe alias Joseph Kabila n’est pas congolais ; il est un tutsi comme l’ont affirmé plusieurs sources, notamment le parlement belge. La destruction massive du tissu économique de la RDC en 18 ans de son règne sans partage est une preuve suffisamment nécessaire pour remettre en question son real politik . La vente de 7 collines, réserves de gisements de la Gécamines et le morcèlement de plusieurs carrières minières appartenant à la Gécamines et leur vente, a rendu cette dernière bénéficiaire de la rente pour sa survie. Kanambe Kazembere a traité Félix Tshisekedi de tyran alors qu’il pactise avec Kagame qui n’a jamais tenu des élections démocratiques, mais il gère le Rwanda en dictateur, opprime ses opposants et confisque la liberté d’expression. Il tue en RDC sans distinction et recrute les enfants mineurs congolais pour habiller le M23 aux couleurs nationales ; la dichotomie dans la pensée d’un ancien président qui se noie dans ses propres fourberies. Tshisekedi Féix Antoine n’est pas un saint et son régime accuse des lacunes et des faiblesses largement démontrées; celles-ci sont loin d’avoisiner une quotité acceptable de ressemblance avec le sien en pourcentage sur l’échelle des comparaisons.
Enfin Kanambe Hippolyte Brise la Glace – Sortie ratée à la barbichette



From 2001 to January 2019: 18 year
De 2001 à janvier 2019 : 18 ans d’un régime sanguinaire impitoyable aidé par les services de renseignements à la solde de Kanambe, non à celle de la république, chapeautés par le tout puissant Kalev. Les massacre de Beni, Tingi-Tingi, Makobola, Kamwina Nsapu, Bundi – dia- Kongo sont les œuvres de Kanzembere Kabila, ainsi que les fosses communes de Maluku et les assassinats ciblés – Luc Kulula de Lucha, Thérèse Kapangala, Rosy Mukendi, Eric Boteti. Le journaliste Franck Ngike et sa femme ont été assassine quand Franck avait révélé le paiement de la solde des militaires rwandais par le trésor public congolais. Armand Ntungulu dont les restes mortuaires ne sont repérables nulle part. Les manifestations populaires réprimées dans le sang par des forces étrangères ; jadis opposant l’homme d’affaires Gabriel Mokia en porte les stigmates à ce jour. Le Bishop Kutino, emprisonné ex nihilo pendant 8 ans, est ressorti avec un infarctus qui l’a laissé hémiplégique. Le peuple est ahuri d’entendre Kanambe réclamant ce jour que « le régime actuel a musèle toute forme d’opposition politique, intimidation, arrestations arbitraires, exécutions sommaires et extrajudiciaires, ainsi que l’exil forcé de politiciens, journalistes et leaders d’opinion sont devenus les caractéristiques principales de la gouvernance de Tshisekedi ». Kanambe que ses acolytes surnomment CARA a étrangement rompu son licence. La supériorité de la frappe diplomatique par Tshisekedi a fait craquer cet usurpateur d’un nom et d’un pays. Pourquoi a-t-il chois la lecture de la résolution 2773 du Conseil de Sécurité pour s’exprimer alors que les invasions de Goma et de Bukavu ne l’ont pas ébranlé ? Quand la situation ne leur est plus favorable, les muets finissent par lâcher la parole qu’ils croyaient rare. Le Président Félix Antoine Tshisekedi a déjoué les manigances et complots contre le peuple congolais ourdis par Kanambe, Katumbi et l’OTAN (Europe Unie).
A cette sortie abracadabrantesque de l’homme aux yeux sortis de leur orbite oculaire, Pasteure Grâce Emie, la fille cadette du Bishop Kutino Fernando a rétorqué comme suit : «Si seulement c’est sur ces critères que repose son jugement, alors c’est une honte totale. Mille fois, j’aurai préféré que mon père, Kutino Fernando, soit incarcéré sous ce régime plutôt que sous l’autre. Torturé, frappé dans sa cellule, humilié…il a résisté, prié, espéré. Mais combien des souffrances le corps peut-il endurer ? Un AVC en prison. Une hospitalisation sous haute surveillance. Malgré nos supplications, un refus catégorique de le laisser partir se faire soigner à l’étranger. Un An. Un an de douleur. Un an d’acharnement. Un an enfermé dans un hôpital sous surveillance constante avant qu’on accepte enfin son exil vers la France, dernier espoir d’un miracle…Mais le verdict du médecin est sans appel : trop tard – Trop tard pour réparer. Trop tard pour rattraper. Trop tard pour espérer. Aujourd’hui paralysé à jamais, il porte les séquelles de leur régime ». La mort dans l’âme, Grâce Emie a désespérément posté ce message telle une eulogie alors que le Bishop est encore vivant, criblé par son fardeau d’handicap qui l’accompagnera dans son sépulcre, à moins d’un miracle en fonction de sa foi dans le présent absolu.
Pourquoi oppose-t-il un refus pour un autoexamen ? Au départ de Mobutu, Kabila Mzee héritait d’une flamboyante flotte maritime de 37 navires ; derrière Mzee qui fut arraché des siens (congolais) par un assassinat où Kanambe aurait joué sa partition, ONATRA comptait 22 bateaux. Après 18 ans de Kazembere, la RDC ne disposait d’aucune nacelle ; à la place les ferrailles amassées, portent un témoignage de la triste fin de ces engins maritimes. La privation des ports nationaux était un moyen de se procurer rapidement des liquidités pour cette famille présidentielle fortement mercantilisée. Jamais ne passe-t-on dans des artères de la république sans être interpelé à la vue d’un arsenal immobilier, propriété de Kanambe Kazembere. Dans le secteur bancaire, l’inconcevabilité de l’inexistence d’une banque commerciale congolaise définit le leadership tyran – style Kanambe. 6 grandes banques étrangères se partagent le marché dans ce secteur : La BGFI (gabonaise), Stanbic(sud-africaine), Equity (kenyane), Rwabank (indienne), Ecobank (togolaise) et Sofibanque (arabe). Dans son intelligence chétivement naine, Kanambe Kabila Joseph n’a jamais su que le développement des banques commerciales nationales est un vecteur de l’entrepreneuriat par l’accès au crédit bancaire. La gabonaise de la BGFI a servi d’usine de blanchiment des capitaux pour les 68 sociétés de la dynastie Kanambe. Sortir arrogamment et étaler les faiblesses du régime Tshisekedi, est une rêverie dans un sommeil hypnotique suite à une promenade solitaire. Hippolyte Kanambe Kazembere n’approche aucunement la poigne managériale républicaine de Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo. Y penser de la sorte, c’est homologuer une éclipse solaire totale au détriment de Fatshi Béton.
Les exécutions sommaires ou arbitraires dont Kanambe accuse le régime actuel, sont un hiatus cérébral criant. La Voix de Sans Voix, Floribert Chebeya a été atrocement asphyxié à mort pendant son règne. Ce jour-là, il n’avait jamais pensé que son rendez-vous avec Numbi n’en était pas un, ni ne savait-il pas que c’était la dernière fois qu’il voyait sa progéniture et sa femme. Le corps de son beau-frère (le frère de sa femme) en même temps son chauffeur Banzana, n’a jamais été retrouvé. Le simulacre de procès qui fut tenu devant les juges issus des mixage et brassage était la poudre aux yeux. Christian Badibangi, le gouverneur du Bas-Congo Jacques Badou, Samba Kaputo, Général Mukuntu ont été tous empoisonnés pour avoir découvert telle ou telle autre vérité sur le régime. Quid des autres victimes qui n’ont jamais été mentionnées et dont la disparition n’a fait l’objet d’aucune enquête ? Même Caligula n’aurait pas approché un monstre de la trempe de Kanambe à l’énumération des morts. La tuerie et la mort étaient pour l’un et l’autre, un jeu. Voilà au moins leur dénominateur commun ! Lui accorder le bénéfice du doute est un fait, certes, mais la disparition de deux experts des Nations Unies- Zaida Catala et Michael Sharp le 12 mars 2017, qui enquêtaient sur les fosses communes dans le phénomène Kamwina Nsapu au Kasai- Central, est un fardeau en vielleuse qui le conduira dans les nioufs de la CPI. La traque des militants UDPS en Afrique du Sud facilitée par l’ancien ambassadeur de la RDC à Pretoria Ben Mpoko. Ils ont été arrêtés et emprisonnés pour s’être exprimés avoir émis des avis contraires sur la gestion du pays par Kazembere Hyppolite. Zombie de l’AJKK avait accompagné les forces de l’ordre sud-africaines dans l’identification des congolais de l’opposition pour accomplir le forfait, sur fond des fausses accusations. Voilà les réalisations d’un régime qui se veut plus salvateur que celui-ci!
La richesse insolente dont jouit Kabila à l’étranger ne pouvait pas le rendre sourd aux larmes des congolais à l’est en particulier. Le patrimoine luxuriant qu’il chérit ailleurs, lui vient de l’usufruit des congolais qu’il s’est accaparé par les enrichissements sans cause et illégaux. Entre 2015 et 2018, le frère adoptif de l’ancien président, Joseph Kabila, Francis Selemani, a bâti un impressionnant portefeuille immobilier aux Etats-Unis, en Afrique du Sud, en Namibie, en Tanzanie et récemment au Rwanda, dépensant 106,6 millions de dollars en parcs immobiliers. Pour le compte de Kabila. Les biens familiaux autour de Washington DC, Cape Town –Stellenbosch et à Johannesburg, dont plusieurs domaines et maisons dans les richissimes banlieues de Dainfern et Sandton ont laissé la RDC exsangue. La RDC a tout donné à cet homme, aujourd’hui défenseur du M23 qu’il prétend représenter les revendications de la masse en RDC – le même mouvement terroriste qu’il accusait de tous les maux en RDC hier. Le moment choisi pour se prononcer n’est pas inopportun ; Kanambe a senti l’étau se resserrer sur lui et sur Kagamé au lendemain de la prise d’une résolution contre le Rwanda ainsi que les sanctions déjà prises et à prendre par les différents pays et organisations à l’encontre du Rwanda et de ses leaders, voire Nangaa, Kanyuka, Bisimua pour le compte du M23-AFC.
En février 2012, Katumba Mwake, alors Conseiller Spécial de ce faux Raïs, est tragiquement tué dans un crash d’avion à l’aéroport de Kavumu à Bukavu. Les circonstances de sa mort n’étant toujours pas élucidées, on prêterait au Rwanda avec Kabila le complot pour assassiner ce fils de Pueto qui devenait encombrant aux yeux de deux tyrans. Plusieurs personnalités politiques et ministres du gouvernement étaient abord de ce vol, dont Matata Ponyo. Curieusement ce dernier sera nommé 12 jours plus tard Premier Ministre du nouveau gouvernement issu des élections de 2011. Ayant survécu à tel accident, il est de coutume que les victimes soient prises en charge pour les séances psychiques à cause du trauma. Ce ne qui ne fut pas le cas – Comprenez ceux qui voudront! Kabila n’est pas en position de faire un diagnostic électoral s’il recourt à sa conscience; il s’est imposé par la force des choses soutenu par Kagame et la communauté internationale en 2006 et 2011. Il en connait les vrais vainqueurs même s’il avait été aidé pour précipiter Jean Pierre Bemba vers la CPI, qui lui foutait la trouille ! Le musèlement de l’opposition, par ailleurs inefficace et inefficiente depuis la présidence de Félix, est un attribut de la malhonnêteté. L’opposition en son temps n’était jamais à l’aise dans ses expressions et ses marches étaient souvent réprimées dans le sang. Les « Brulés » de la permanence de l’UDPS à Limete en sont une illustration magnifiée. Le rapatriement de la dépouille mortelle de Monsieur Etienne Tshisekedi wa Mulumba pour qu’il repose pour l’éternité dans son pays natal à Kinshasa, avait rencontré le refus catégorique de Kanambe et de son gouvernement. Elle est restée dans les installations frigorifiées d’un hôpital en Belgique de février 2017 au 31 mai 2019 pour enfin être inhumée le 01 juin 2019 à l’avènement de son fils. L’irritabilité de Gecoco Mulumba se déclenche automatiquement à l’écoute des noms Kalev et Joseph Kabila ; il pissait du sang dans les geôles de l’ANR à cause d’une insuffisance rénale provoquée par l’insalubrité des lieux. Le régime Kabila lui refusa toute sortie à l’extérieur pour des soins appropriés, son père larmoyant, est passé sur les antennes de la télévision et a plaidé le cas de son fils, mais en vain.
Hippolyte Kanambe alias Joseph Kabila aurait dû conserver son mutisme jusqu’à nouvel ordre. Lui qui disait autrefois qu’il faille parler quand les mots sont plus forts que le silence, on assiste à ce scenario selon lequel Hyppolite a parlé dans une terminologie sans nuance, définit globalement la nature ambivalente de son règne. S’être précipité dans les dénonciations incongrues à la suite de la résolution par le Conseil de Sécurité et des sanctions contre le Rwanda, M23 ainsi que certains de leurs leaders, ne caste plus de doute sur ses origines douteuses. Sa présence à Uvira pour ravitailler les troupes rwandaises et corrompre les officiers des FARDC ayant déserté, a été scrupuleusement signalée. Personne n’a bénéficié de la RDC autant que Kabila et sa famille ; aucun membre de cette famille n’a été ému pour exprimer de la compassion envers les populations de l’Est meurtries. Il n’a ni présenté ses condoléances aux familles des personnes fauchées gratuitement par M23 et RDF ni condamné l’entrée de ces troupes à Goma et à Bukavu. A la place, Kanambe a rendu hommage à l’ancien président de la Namibie Sam Nujoma qui est décédé le 8 Février 2025 à Windhoek où il a massivement investi. Le temps a fini par donner raison aux rumeurs qu’Hippolyte et M23 ne font qu’un ensemble indissociable. C’est écœurant qu’un ancien président de la RDC n’ait pas eu le temps de s’incliner devant la mémoire des milliers de congolais tués à l’Est qu’il avait eus à diriger, mais il en trouve suffisamment pour conforter une famille dans un pays étranger. Si Kanambe, en tant que président de la RDC avait vaincu le M23 en 2013 comme il le prétend, la signature des accords avec un mouvement défait militairement ne pouvait avoir lieu. Le vainqueur ne signe pas des accords avec le vaincu, les rapports de force étant à son avantage. Mais la grogne est ailleurs -la loi de programmation militaire initiée par le Président Tshisekedi et la révision ou le changement de la constitution attendu, ont été une pandémie maladive pour le Rwanda. Kagame ne pouvait plus supporter les initiatives de Félix Antoine qu’il a accusé à maintes fois de ne jamais respecter les engagements. Kanambe Kazembere combat Felix qui cherche la paix pour son peule pendant que la reconquête du pouvoir est pour lui un diamant. L’annulation des accords signés par Kabila que la RDC ne devrait pas s’armer ni former des nouveaux militaires, a mis Kagame et Kanambe hors de toute perspective d’alternative. Le deal fut qu’en cas de problème sécuritaire expérimenté par la RDC, le Rwanda volera à son secours pour assurer sa sécurité. Tshisekedi est allé plus loin en annulant les autorisations et permis des carrés miniers ayant appartenu à Kagame dans le Katanga. Ce fut une goutte de trop ! L’article 217 de la constitution qui concède l’abandon partiel de la souveraineté en vue de promouvoir l’unité africaine, devrait être aboli. La loi Tshiani de Père et de Mère à adopter dans la constitution révisée ou changée, ne plait ni à Kagame ni à Kabila, Katumbi y inclus. Dans le but de retarder ces échéances, la guerre était inévitable pour stopper les relents évolutionnistes de l’actuel régime où la connexion internet n’a jamais été coupée depuis la venue au pouvoir de Felix Antoine Tshisekedi, n’en déplaise au camp d’en face qui est allé de balbutiements en bégaiements politiques sans étayer le concret. C’est l’essor quand la vérité politique a été tordue historiquement par un despote de son calibre.
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