mars 10, 2025

amagep

Ici pour vous!

Grand Kalu à la rescousse du football Zambien

Deux fois de suite, la Zambie n’a pas réussi à se qualifier pour la Coupe d’Afrique des Nations. L’ unique droit de naissance du pays a été retiré sans cérémonie des millions de fanatiques et chauvins de football par une administration qui n’a pas pu réussir à qualifier l’équipe nationale. Le pays est parti d’échec en échec: les Chipolopolo n’ont pas réussi à se qualifier pour la Coupe du Monde; puis la honte d’être expulsé d’un championnat de catégorie d’’âge à l’Ile Maurice; les échecs répétitifs enregistrés par les équipes de jeunes dans toutes les compétitions d’Afrique juvéniles, sans parler de l’embarras lors de la Coupe Cosafa.

Les humiliations à cadence saccadée subies lors des matchs perdus à domicile, même contre des équipes dites faibles, était devenue le lot quotidien des Zambiens. Et les sponsors ont également pris la poudre d’escampette, réduisant les sources de revenus possibles. Le seul sponsor étant une école qui a rapporté à peu près K1 million (Kwacha – ZAR 1 018, 143. 00 – U $68, 172,29) pendant une année. Faible hauteur de sponsoring dont le montant d’argent était de loin inférieur aux allocations que le président sortant Andrew Kamanga et son Exécutif s’allouaient pour les réunions auxquelles ils prenaient part. Comme si cela ne suffisait pas, les équipes nationales s’habillaient à partir de tissus assemblés dans des boutiques de couture dans les rues du marché de Bangkok et auprès d’autres vendeurs et couturiers en Extrême-Orient.

Kopa, Chikolopo, maillot takataka, nylon et crimplene, tous les noms sont permis, étaient la griffe sans marque déposée. C’est loin de tout ce que font les nations nanties de football. Même les pays et les Associations les moins performants n’ont pas choisi d’engager des tailleurs pour devenir équipementiers circonstanciels pour fabriquer les maillots et autres vareuses pour l’équipe nationale.

Deja la route vers la CAN 2021 est parsemée d’embuches, la Zambie est déjà sans résultat probant, le dernier résultat de l’équipe nationale étant une cuisante défaite 0-5, vraiment dévastatrice, contre l’Algérie; un signe clair que le président sortant et patron des entreprises Andrew Kamanga, y compris son exécutif également sortant, n’ont aucune idée du know-how pour se rendre à la Coupe d’Afrique. Les preuves de leur ignorance abondent dans ce sens.

La vertigineuse et chute libre de la Zambie ainsi que administration déletere, voire les résultats horribles sont-ils la consequencet de quelque chose de negatif ou d’un simple accident de parcours? Pas du tout! Avant le football, quel était le record en matiere de gestion de football de Kamanga? Ce record en dit long: il est réputé d’avoir créé une ligue nationale parallèle de football. Son implication dans les affaires de Kabwe Warriors a conduit cette dernière à la relégation. Ensuite, il y avait ces petits clubs dans la province centrale et un piètre passage chez Power Dynamos et le reste est enregistré dans les annales de l’anarchie du football et du brassage de la confusion dans le football Kamanga. Malheureusement, lorsqu’il est devenu président de la FAZ (Fédération Zambienne de Football), il a même retiré toutes les photos des membres de l’équipe nationale sacrée championne d’Afrique lors la CAN 2012, exposées aux murs de Football House. Une cruauté qui ne dit son nom! Ces photos de 2012 sont cependant toujours exposées sur les murs au siège de la CAF au Caire. Ensuite, les huissiers de justice sont passés au Football House (siège de ZAF), les travailleurs étaient à la UNE des journaux pour non-paiement des salaires, les joueurs de l’équipe nationale se déplacent sans indemnités ni allocations et autres bonifications, pas de kit dédié aux voyage et loisir, les failles, les défaites et autres couacs en coupes et au niveau des bureaux provinciaux qui restent une pilule amère. Tant d’incommensurables échecs!

Malheureusement pour le public zambien qui souffre actuellement, la qualité de jeu des Chipolopolo et les matches amicaux internationaux de haut niveau ont disparu. Il n’y a plus de Zambie contre le Brésil, plus de Japon, Chili, Corée, Norvège, Arabie Saoudite… Kalusha Bwalya avait vraiment établi cette longue liste des adversaires de qualité. Au cours des quatre dernières années, les amateurs de football zambiens ont appris à voyager dans leur imagination et à apprendre le score des matchs amicaux non confirmés contre la Namibie et d’autres… triste réalité.

Quelles preuves supplémentaires étaient-elles nécessaires pour confirmer que le football en Zambie était terriblement grabataire, et se trouvait dans la salle d’urgence pour une chirurgie du football, nécessitant une attention urgente d’experts? Quelles preuves supplémentaires étaient-elles nécessaires pour confirmer que l’héritage du football zambien avait été détruit ? Les Zambiens doivent-ils faire le bilan déprimant de l’exécutif sortant de la FAZ? Cela ne peut que les déprimer davantage. Nous les en épargnons! Le régime précédent était le maillon le plus faible entravant la relève du football zambien.

Comme ce fut le cas dans les ultimes minutes d’un match très crucial pour la qualification, un capitaine et une légende vivante se lève aujourd’hui! Et quel moment opportun pour le grand fils du sol, le Roi Kalu, de se mettre en évidence. Comme il l’a fait à maintes reprises avec sa magie de la gauche, il est là encore pour délivrer la mère patrie, la Zambie même s’il a semblé que tout espoir était perdu. A l’instar de son leadership, s’il faille le rappeler, quand, après le 28 avril 1993, le pays fut endeuillé par la perte d’une équipe entière au large des côtes du Gabon, le Ballon d’Or africain 1988, King s’est relevé pour renflouer le navire de football zambien hors des eaux troublées et le porter au summum de la hiérarchie des grandes nations de football auquel les Chipolopolo appartiennent, comme il sait mieux le faire. Lorsque les amoureux du ballon rond déplorent la destruction de leur fier héritage en tant que grande nation de football; quand le pays pleure les terribles tragédies d’avoir raté la Coupe d’Afrique des Nations (dans la voix de Dennis Liwewe) à plus d’une fois, quand le pays déteste la pitoyable physionomie qu’affichent actuellement les Chipolopolo, voilà Kalusha Bwalya qui vient pour alléger à nouveau leur lourd fardeau et essuyer le larmoiement de leurs yeux – pour sauver le sport bien-aimé du pays de l’effondrement total causé par des échecs administratifs flagrants observés au cours des quatre dernières années. Comme il l’a fait à l’époque, il s’appuiera sur le travail acharné et le dévouement de toute l’équipe – les conseillers et les autres hommes et femmes qui présenteront avec lui aux élections le mois prochain! La levée de sa sanction dans une affaire de corruption par la FIFA l’année dernière, l’ancien sociétaire de Mufulira Wanderers, Cercle Brugges, PSV Eindhoven et America, le Grand Kalu, le fils prodigue est de retour dans la lumière.

Le football n’est pas seulement un sport. C’est le mode de vie de la Zambie et de l’Afrique subsaharienne. Les résultats positifs en football et les belles performances des Chipolopolo unissent les Zambiens. A l’instar de tous les Africains au sud du Sahara, il leur apporte de la joie, leur donne de l’espoir, du courage et les motive à travailler dur. Qui ne se souvient pas des joies des mineurs lorsque les Chipolopolo ont gagné et que la production de cuivre a augmenté? Qui ne se souvient plus du charme de la magie de Kalu, de l’enchanteur Alex Computer Chola, des exploits de Sir Zoom, Charlie Cool, Wizzzz, Malaza, des piliers défensifs Elijah Litana et Wawa, du rocher solide Stoppila Sunzu, du capitaine fantastique Chris Katongo , ba Mupa, Herve et Mayuuukaaaa et les hauts faits de ces légendes de la CAN 2012 que Kalu a gérés sous un leadership et une inspiration d’aplomb…. Qui ne se souvient pas de la façon dont le football transcende les clivages politiques, les groupes religieux et sape le tribalisme pour rendre les gens de tous bords fiers et faire en sorte que la Zambie soit UNE, en plus d’une nation pour célébrer la victoire de son équipe nationale, les Chipolopolo… Qui peut oublier le refrain des chants Zambie, Zambie, Zambie et allons-y Zambie, allons-y, Kalu Kalu Kalu !!! Ces états d’âme fous ne peuvent être vécus de nouveau qu’avec un leadership dont l’attention est entièrement focalisée sur le football, avec un pedigree approprié de gestionnaire et un record inégalé et sans précédent. Un leadership dont l’ADN n’est autre chose que le football.

Alors que ZAF se rend aux urnes le mois prochain, Kalusha est-il déjà en pole position? Une disposition relative au contrôle d’intégrité insérée dans les statuts de la ZAF pourrait entraver les perspectives de Kalu. Les experts ont également exprimé leur appréciation selon laquelle si Kalusha Bwalya a été nommé de nouveau par CAF, ZAF c’est quoi ? Il incombe aux conseillers de confier leur vote et leur responsabilité à un expert s’ils croient au changement de la situation, pour pouvoir transformer les fortunes du football zambien: les performances et autres faits de compétence de Kalusha Bwalya parlent d’eux-mêmes pendant ses huit (8) ans à la tête de la FAZ (2008-2016) comparées à l’exécutif sortant. Légende du football africain et récemment nommée ambassadeur du tourisme en Zambie par le ministre zambien du Tourisme et des Arts, Ronand Chitotela, Kalusha Bwalya est de retour.

Il n’aurait pas pu mieux dire. «J’ai consacré toute ma vie au football et je pense que j’ai encore beaucoup à offrir au football. J’ai présidé de nombreux comités et organisations dans le football et en dehors du football et j’ai acquis encore plus d’expérience. J’ai donc décidé de poser ma candidature pour la présidence de la ZAF. Dans le football, il faut être prêt à gagner et à perdre. Je crois que cela vaut la peine d’essayer de venir aider la Mère Zambie à retrouver son ancienne gloire footballistique », a déclaré Kalu dans un message inspirant après avoir réussi à déposer le dossier relatif à sa candidature à Football House.

GRAND KALU A LA RESCOUSSE
DU FOOTBALL ZAMBIEN

PAR JEFF M KATALA et
GODFREY CHIKUMBI
(Expert football zambien)

Deux fois de suite, la Zambie n’a pas réussi à se qualifier pour la Coupe d’Afrique des Nations. L’ unique droit de naissance du pays a été retiré sans cérémonie des millions de fanatiques et chauvins de football par une administration qui n’a pas pu réussir à qualifier l’équipe nationale. Le pays est parti d’échec en échec: les Chipolopolo n’ont pas réussi à se qualifier pour la Coupe du Monde; puis la honte d’être expulsé d’un championnat de catégorie d’’âge à l’Ile Maurice; les échecs répétitifs enregistrés par les équipes de jeunes dans toutes les compétitions d’’Afrique juvéniles, sans parler de l’embarras lors de la Coupe Cosafa.

Les humiliations à cadence saccadée subies lors des matchs perdus à domicile, même contre des équipes dites faibles, était devenue le lot quotidien des Zambiens. Et les sponsors ont également pris la poudre d’escampette, réduisant les sources de revenus possibles. Le seul sponsor étant une école qui a rapporté à peu près K1 million (Kwacha – ZAR 1 018, 143. 00 – U $68, 172,29) pendant une année. Faible hauteur de sponsoring dont le montant d’argent était de loin inférieur aux allocations que le président sortant Andrew Kamanga et son Exécutif s’allouaient pour les réunions auxquelles ils prenaient part. Comme si cela ne suffisait pas, les équipes nationales s’habillaient à partir de tissus assemblés dans des boutiques de couture dans les rues du marché de Bangkok et auprès d’autres vendeurs et couturiers en Extrême-Orient.

Kopa, Chikolopo, maillot takataka, nylon et crimplene, tous les noms sont permis, étaient la griffe sans marque déposée. C’est loin de tout ce que font les nations nanties de football. Même les pays et les Associations les moins performants n’ont pas choisi d’engager des tailleurs pour devenir équipementiers circonstanciels pour fabriquer les maillots et autres vareuses pour l’équipe nationale.

Deja la route vers la CAN 2021 est parsemée d’embuches, la Zambie est déjà sans résultat probant, le dernier résultat de l’équipe nationale étant une cuisante défaite 0-5, vraiment dévastatrice, contre l’Algérie; un signe clair que le président sortant et patron des entreprises Andrew Kamanga, y compris son exécutif également sortant, n’ont aucune idée du know-how pour se rendre à la Coupe d’Afrique. Les preuves de leur ignorance abondent dans ce sens.

La vertigineuse et chute libre de la Zambie ainsi que administration déletere, voire les résultats horribles sont-ils la consequencet de quelque chose de negatif ou d’un simple accident de parcours? Pas du tout! Avant le football, quel était le record en matiere de gestion de football de Kamanga? Ce record en dit long: il est réputé d’avoir créé une ligue nationale parallèle de football. Son implication dans les affaires de Kabwe Warriors a conduit cette dernière à la relégation. Ensuite, il y avait ces petits clubs dans la province centrale et un piètre passage chez Power Dynamos et le reste est enregistré dans les annales de l’anarchie du football et du brassage de la confusion dans le football Kamanga. Malheureusement, lorsqu’il est devenu président de la FAZ (Fédération Zambienne de Football), il a même retiré toutes les photos des membres de l’équipe nationale sacrée championne d’Afrique lors la CAN 2012, exposées aux murs de Football House. Une cruauté qui ne dit son nom! Ces photos de 2012 sont cependant toujours exposées sur les murs au siège de la CAF au Caire. Ensuite, les huissiers de justice sont passés au Football House (siège de ZAF), les travailleurs étaient à la UNE des journaux pour non-paiement des salaires, les joueurs de l’équipe nationale se déplacent sans indemnités ni allocations et autres bonifications, pas de kit dédié aux voyage et loisir, les failles, les défaites et autres couacs en coupes et au niveau des bureaux provinciaux qui restent une pilule amère. Tant d’incommensurables échecs!

Malheureusement pour le public zambien qui souffre actuellement, la qualité de jeu des Chipolopolo et les matches amicaux internationaux de haut niveau ont disparu. Il n’y a plus de Zambie contre le Brésil, plus de Japon, Chili, Corée, Norvège, Arabie Saoudite… Kalusha Bwalya avait vraiment établi cette longue liste des adversaires de qualité. Au cours des quatre dernières années, les amateurs de football zambiens ont appris à voyager dans leur imagination et à apprendre le score des matchs amicaux non confirmés contre la Namibie et d’autres… triste réalité.

Quelles preuves supplémentaires étaient-elles nécessaires pour confirmer que le football en Zambie était terriblement grabataire, et se trouvait dans la salle d’urgence pour une chirurgie du football, nécessitant une attention urgente d’experts? Quelles preuves supplémentaires étaient-elles nécessaires pour confirmer que l’héritage du football zambien avait été détruit ? Les Zambiens doivent-ils faire le bilan déprimant de l’exécutif sortant de la FAZ? Cela ne peut que les déprimer davantage. Nous les en épargnons! Le régime précédent était le maillon le plus faible entravant la relève du football zambien.

Comme ce fut le cas dans les ultimes minutes d’un match très crucial pour la qualification, un capitaine et une légende vivante se lève aujourd’hui! Et quel moment opportun pour le grand fils du sol, le Roi Kalu, de se mettre en évidence. Comme il l’a fait à maintes reprises avec sa magie de la gauche, il est là encore pour délivrer la mère patrie, la Zambie même s’il a semblé que tout espoir était perdu. A l’instar de son leadership, s’il faille le rappeler, quand, après le 28 avril 1993, le pays fut endeuillé par la perte d’une équipe entière au large des côtes du Gabon, le Ballon d’Or africain 1988, King s’est relevé pour renflouer le navire de football zambien hors des eaux troublées et le porter au summum de la hiérarchie des grandes nations de football auquel les Chipolopolo appartiennent, comme il sait mieux le faire. Lorsque les amoureux du ballon rond déplorent la destruction de leur fier héritage en tant que grande nation de football; quand le pays pleure les terribles tragédies d’avoir raté la Coupe d’Afrique des Nations (dans la voix de Dennis Liwewe) à plus d’une fois, quand le pays déteste la pitoyable physionomie qu’affichent actuellement les Chipolopolo, voilà Kalusha Bwalya qui vient pour alléger à nouveau leur lourd fardeau et essuyer le larmoiement de leurs yeux – pour sauver le sport bien-aimé du pays de l’effondrement total causé par des échecs administratifs flagrants observés au cours des quatre dernières années. Comme il l’a fait à l’époque, il s’appuiera sur le travail acharné et le dévouement de toute l’équipe – les conseillers et les autres hommes et femmes qui présenteront avec lui aux élections le mois prochain! La levée de sa sanction dans une affaire de corruption par la FIFA l’année dernière, l’ancien sociétaire de Mufulira Wanderers, Cercle Brugges, PSV Eindhoven et America, le Grand Kalu, le fils prodigue est de retour dans la lumière.

Le football n’est pas seulement un sport. C’est le mode de vie de la Zambie et de l’Afrique subsaharienne. Les résultats positifs en football et les belles performances des Chipolopolo unissent les Zambiens. A l’instar de tous les Africains au sud du Sahara, il leur apporte de la joie, leur donne de l’espoir, du courage et les motive à travailler dur. Qui ne se souvient pas des joies des mineurs lorsque les Chipolopolo ont gagné et que la production de cuivre a augmenté? Qui ne se souvient plus du charme de la magie de Kalu, de l’enchanteur Alex Computer Chola, des exploits de Sir Zoom, Charlie Cool, Wizzzz, Malaza, des piliers défensifs Elijah Litana et Wawa, du rocher solide Stoppila Sunzu, du capitaine fantastique Chris Katongo , ba Mupa, Herve et Mayuuukaaaa et les hauts faits de ces légendes de la CAN 2012 que Kalu a gérés sous un leadership et une inspiration d’aplomb…. Qui ne se souvient pas de la façon dont le football transcende les clivages politiques, les groupes religieux et sape le tribalisme pour rendre les gens de tous bords fiers et faire en sorte que la Zambie soit UNE, en plus d’une nation pour célébrer la victoire de son équipe nationale, les Chipolopolo… Qui peut oublier le refrain des chants Zambie, Zambie, Zambie et allons-y Zambie, allons-y, Kalu Kalu Kalu !!! Ces états d’âme fous ne peuvent être vécus de nouveau qu’avec un leadership dont l’attention est entièrement focalisée sur le football, avec un pedigree approprié de gestionnaire et un record inégalé et sans précédent. Un leadership dont l’ADN n’est autre chose que le football.

Alors que ZAF se rend aux urnes le mois prochain, Kalusha est-il déjà en pole position? Une disposition relative au contrôle d’intégrité insérée dans les statuts de la ZAF pourrait entraver les perspectives de Kalu. Les experts ont également exprimé leur appréciation selon laquelle si Kalusha Bwalya a été nommé de nouveau par CAF, ZAF c’est quoi ? Il incombe aux conseillers de confier leur vote et leur responsabilité à un expert s’ils croient au changement de la situation, pour pouvoir transformer les fortunes du football zambien: les performances et autres faits de compétence de Kalusha Bwalya parlent d’eux-mêmes pendant ses huit (8) ans à la tête de la FAZ (2008-2016) comparées à l’exécutif sortant. Légende du football africain et récemment nommée ambassadeur du tourisme en Zambie par le ministre zambien du Tourisme et des Arts, Ronand Chitotela, Kalusha Bwalya est de retour.

Il n’aurait pas pu mieux dire. «J’ai consacré toute ma vie au football et je pense que j’ai encore beaucoup à offrir au football. J’ai présidé de nombreux comités et organisations dans le football et en dehors du football et j’ai acquis encore plus d’expérience. J’ai donc décidé de poser ma candidature pour la présidence de la ZAF. Dans le football, il faut être prêt à gagner et à perdre. Je crois que cela vaut la peine d’essayer de venir aider la Mère Zambie à retrouver son ancienne gloire footballistique », a déclaré Kalu dans un message inspirant après avoir réussi à déposer le dossier relatif à sa candidature à Football House.