C’est la sœur de Louis Blaise Londole qui partage les couettes avec le newsfaker, l’impoli de la société réseaux sociaux en RDC, ne pouvant jamais être journaliste ni chroniquer, voire animateur, Pero Luwara qui vit en clandestinité depuis ses salses à l’endroit du Président Félix, est aux abois. Le mal élevé de la République cherche à tout prix à s’exiler vers l’Europe ou en Amérique à partir de sa cachette. Dans CPL News, ce bachibouzouk rapporte certains écrits qui s’apparentent aux articles dans lesquels les rafistolages inconscients sont honteusement montés pour saper la personnalité et l’honneur des acteurs aux vertus politiques et académiques imperturbables. Un mal-bouche inconsciemment imbu d’une personnalité incongrue, qui se fout les pieds dans une boue d’argile.
Luwara vit en concubinage, à distance, avec la sœur de Louis Blaise Londole ; l’un des six membres du Conseil d’Administration de la Régie des Voies Aériennes (RVA), nommé par Son Excellence Monsieur le Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, dans les ordonnances lues le 10 Juin 2020. Louis Blaise Londole est le Président de l’ASBL Fatshiste par Conviction, sa sœur, Judith Londole, vit en France. Les sources ont révélé que Luwara lui a proposé d’utiliser ses papiers d’établissement dans l’Hexagone pour l’exfiltrer de la Zambie et de Kashobue afin que les nouveaux tourtereaux solidifient leur idylle concubin une fois qu’il sera en France. Certes, l’argent ne fait pas défaut, pour faciliter les démarches grâce aux fonds mis à sa disposition comme butin des injures proliférées contre la personne du Président de la République Félix Antoine, la nuit comme le jour. Une intelligence en bouillie dont Luwara s’enorgueillit et tirée des entrailles d’impudicités mendiantes dans une volubilité et une tonalité faussement empreintes du label PPDA (Patrick Poivre d’Arvor). Judith Londole en France est déjà avertie ; les menaces de représailles par les congolais de père et de mère en diaspora sont une épée de Damoclès sur sa tête. Aux Etats-Unis et au Canada, c’est le même son de cloche. On guette les coins et recoins à la recherche de tout soupçon signalant une quelconque présence de Luwara pour lui rendre ses comptes. Critiquer, torturer et analyser négativement les prises de position politiques et la gouvernance Fatshi, n’ont jamais été élevés en crimes de lez majesté. La rigueur de la loi doit être appliquée en cas des déviations qui touchent la personne de Félix Tshisekedi et des siens, Luwara n’y fera exception.

Judith doit se rendre à l’évidence que masquer une immigration clandestine de Luwara compromettrait, à grande échelle, la carrière professionnelle et politique de son frère Louis Blaise Londole. Un ancien exilé économique zaïrois qui s’est coulé des décennies au Canada jusqu’à l’avènement de Félix Antoine. Heureusement, le Président Félix est tellement bien élevé qua la vendetta n’a jamais été son chorus de cœur. La ficelle étant un peu grosse (arguments pas convaincants), Luwara s’est toujours extirpé de la réalité par des affirmations hâtivement calomnieuses non détaillées et dépourvues de fonds. N’étant pas à sa première expérience en termes de déclarations pompeusement creuses, Luwara est un raton-laveur impoliment omnivore. Le fait de manger à tous les râteliers pour assurer sa survie, témoigne de l’absence des traits élémentaires de l’éthique et de la politesse envers les autorités de l’Etat, y compris le Président de la République. La rédaction de ses pseudos articles équivaut au parler qui ne tient nullement compte de certains prérequis à l’écrit; son parler est un vrai film d’horreur. Il pèche par l’irrespect du criterium rédactionnel sine qua non pour la dissémination intelligible des informations. Le même credo malsain est partagé par tous ceux qui s’abreuvent de l’eau Katumbi! Allez-y comprendre quelque chose.
Luwara qualifia le vice-président de l’Assemblée Nationale, André Mbata, de Professeur de second rang, alors que lui-même sort d’une institution de l’enseignement supérieur en RDC non classée parmi les 100 meilleures du continent. L’UNISA (University of South Africa) où Mbata est professeur de Droit, se trouve parmi les 10 premières universités d’Afrique. Un tel retard amnésique est un très gros point d’interrogation sur ses capacités mentales. La maximisation des notes demeurant encore et toujours le sujet des débats tant que l’achat des syllabus constitue un critère de délibération au Congo. C’est le schéma le plus facile pour décrocher des diplômes vides de nuances dans un système éducatif rétrograde. Le comportement de Luwara est le reflet congru des antécédents éducatifs biaisés et au rabais indescriptible. Il est le spécimen pourri des placebos expérimentaux, déterminé à penser que la dureté dans les injures plongerait le vrai Président de la République dans un étourdissement. La sagesse africaine recommande que l’homme prenne la direction des opérations face à un être féminin, Luwara fait la honte des mâles.
D’une moquerie rabaissant, cet homme aux mœurs légères qui témoignent d’une absence ostentatoire d’éducation, a confondu le Président de la République au comédien de la même trempe que Vue de Loin. Sai Sai, Esobe et tous les autres comédiens de la RDC ont les tripes dans les poumons à entendre Luwara se moquer de leur métier. La comédie, qu’elle soit romantique, sociale, absurde ou d’auteur, elle comble les populations qui ont besoin d’humour. Mais un certain Luwara pense que le cinéma, qui comprend la comédie, a eu tort d’être classée et appelée 7ème art. Le raisonnement de ce badaud de la presse, démontre la dimension négativement évolutive d’un apprentissage à multiples régressions inimaginables. Avancer des arguments fanfarons sans soubassement issu d’un due diligence d’aplomb résulterait en actions judiciaires diligentées contre les tireurs des ficelles et les exécuteurs, une fois identifiés. Face à un chanvreur et adepte aguerri du «Bombé», les écarts de langage, sa mauvaise éducation avec un background bossu et son profilage ambigu, ses émissions n’émeuvent personne.
Aujourd’hui Luwara se plait à l’injure facile et aux calomnies incendiaires ; il oublie s’être terré dans les caniveaux et a passé des nuits dans des tranchées comme à Trenchtown pour échapper aux fougues du pouvoir Kabila dont il avait vanté les mérites avant de s’éclipser définitivement. Chantre des premières heures du système Kabila, Luwara avait fait de Digital Congo, son employeur, le miroir audiovisuel de la République. Les libertés de presse et d’expression ne seront jamais égales à la diffamation et au libertinage. Proférer des injures publiquement est une résultante des intelligences sales et immatures. Revenant du purgatoire, il avait trouvé refuge auprès des organisations de droits de l’homme pour sa sécurité, tout en les implorant d’intervenir pour recouvrer son salaire impayé pendant plusieurs mois; démarche non concrétisée à ce jour. Faute de n’avoir récupéré aucun iota, Luwara aurait voulu que Félix intervienne dans ses démêlés salariaux avec Jeanet! Dada aurait-elle juré sur la peau de Luwara? Parbleu! D’où cette animosité gratuitement entretenue à l’endroit du Président de la République.
Oui, Félix joue la comédie à la tête de l’Etat! Que dire de son faiseur Katumbi qu’il croit être homme providentiel pour la RDC – quand le but de lucre corrompt aveuglement sans rationalité? Son piqueur des « piqures » avait récemment tonné sur les antennes de France 24 qu’une fois élu Président de la République Démocratique du Congo, il ne se cantonnera jamais dans les bureaux « climatiques », au lieu de « climatisés ». Des déclarations mollassonnes et ignorantes dépourvues de syntaxe et de sémantique. C’est là l’endroit idéal pour entamer le changement. Si le Chef balbutie à ce niveau, cela revient à dire que ses répétiteurs dont Luwara et Kamitatu, ne sont que des fous du Roi. Il n’y a pas de mauvais élèves, rien que des mauvais maitres. A ce jour, la réalité est en train de rattraper Luwara; tel un porc-épic terré de frayeur, il cherche l’issue de secours pour s’enfuir, et pour de bon. D’ailleurs la nouvelle République n’a pas besoin des porteurs de velléités aux antipodes mercantiles. En vrai charognard de la presse, Luwara se comporte en un cygne qui chante à longueur des journées, alors que ses chants ne contiennent ni sérénité, ni pureté, donc sans beauté. Or, c’est dans la sérénité de son chant que l’on juge de la pureté du Cygne
Pas plus tard qu’hier, Luwara avait accordé une interview dans laquelle il confirmait l’absence de toute paternité congolaise de son faiseur Katumbi. Né d’un père israélien et d’une bonne zambienne de son père, le sujet est un citoyen gréco-israélo-italo-zambien, qui a fait fortune sur le dos des congolais. La mort de l’ingénieur Kabasele, connu pour son «Pousse-café » dans l’affaire Mine de Mbola, est intimement liée à l’emprise du bâtard, et sa gouvernance régionale katangaise a anéanti l’existence de la Gécamines. Kabasele a été tué pour sa « kasaieneté » lors de la confiscation de sa mine par les envoyés de Soriano, alias Katumbi. Un étranger apatride qui chasse un autochtone d’une appartenance régionale connue, et dans son pays d’origine – il n’y a qu’en RDC!
Luwara est un des pêchés cramoisis de la RDC, et erronément comparé à la matière grise de la presse congolaise, Kwebe Kimpele. C’est une insulte pour Kwebe dont l’exactitude du franc-parler devenait les thèmes de rédactions et des exercices de phraséologie dans les collèges et lycées les plus réputés du pays. Malheureusement Luwara se taillait la peau des fesses dans les instituts autrement connus «Masoko Pasi». C’est attristant de constater qu’il fallut que Félix Antoine soit élu Président de la République pour que le peuple retrouve la liberté. Le comportement de Luwara est la manifestation par excellence d’une liberté retrouvée à l’image d’un oiselet qui sort de son nid pour la première fois et découvre les délices de l’envol. Mais les effets enivrants d’une telle liberté ne sont pas distants de ceux de la démence, comme les cellules du cerveau ne se développent plus en cas de démence, c’est la mort cérébrale qui attend Luwara, car mort cliniquement déjà. Le port des lunettes qui fait de lui une libellule hagarde, ne lui confère pas une certaine intelligence dont il prétend être dépositaire pour s’attaquer vulgairement au Président Fatshi. La RDC a en face un « Mario» de la pire espèce, un mort clinique candidat à l’immigration clandestine sous les pagnes d’une concubine, Judith. Un gigolo imbu d’un bavardage insolemment pompeux et creux.
More Stories
A la découverte de l’Ambassadrice de la République Démocratique du Congo aux Etats-Unis : Marie-Hélène Mathey Boo Lowumba
L’entreprise chinoise Oracle Mining détruit à mort la province de la Tshopo en RD Congo par l’exploitation minière et la corruption
Le docteur Serge Tshibangu, Conseillé du Président Tshisekedi