mars 10, 2025

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Le viol, arme de destruction massive en RD Congo

En République démocratique du Congo, le viol est utilisé comme un instrument de destruction massive. Depuis la guerre de libération dirigé par Laurent Kabila en 1996, le mouvement rebelle formé des armées du Rwanda, de l’Ouganda et du Burundi sous le parrainage des gouvernements américain et européen, le viol s’est répandu dans le pays. De nombreux actes de violence ont augmenté après toutes les guerres que le pays a connues.

 

Dans ce cas, le gouvernement actuel à Kinshasa fait l’objet de multiples pressions de la part de militants locaux et internationaux.
Le président Joseph Kabila a terminé son mandat depuis 2016 mais il refuse de quitter le pouvoir.
De nombreux observateurs des droits de l’homme ont averti la communauté internationale et la population locale de l’intention de Kabila de rester au pouvoir même après l’expiration de son mandat.
Cette campagne de justice et de droiture a fait de nombreux ennemis, même au sein des institutions et des agences de l’Etat. Le gouvernement utilise l’armée, les agences de renseignement
et différentes branches de la magistrature pour manipuler et preussuriser ceux qui s’opposent à toute manipulation qui peut compromettre le respect de la constitution ou le bien-être du peuple. Pour cette raison, magistrats, avocats, journalistes, dirigeants de la société civile, les étudiants et certains agents de la force publique ont été la cible de la campagne pour faire taire ceux qui s’opposent à la tyrannie et au régime meurtrier de Kabila.
Dans la nuit du 26 au 27 septembre 2016, un groupe de trois hommes armés apparemment des services de sécurité du pays est entré au domicile de M. Tonton Lembelembe à Lemba, dans la banlieue de Kinshasa.
Ils cherchaient des documents qualifiés d’archives’ comme ils le disaient à sa femme Mme Marie MURANGWEME.
Le mari était absent au moment de l’arrivée du groupe. Ils ont neutralisé la femme. Ils ont demandé où se trouvait son mari. Comme il n’était pas à trouver,
l’un des hommes a ordonné à la femme de le diriger dans la chambre pour une nouvelle recherche de documents.
Il semblait que ces documents étaient si importants pour un cas qu’aucun D’eux n’a révélé. Malheureusement, l’homme qui marchait avec la femme dans la chambre à coucher en profite et prend le temps de violer son avertissement si elle screems, elle serait tuée.
Après le forfait, les trois hommes ont quitté la maison en disant à la femme de transmettre le message au mari. Le violeur a dit qu’il l’a fait pour envoyer un message fort au mari à propos de ces archives.
Mme Marie a saigné. Il a été établi plus tard à l’hôpital qu’elle a perdu sa grossesse par la violence du viol et craint tout le développement des événements.
Une lettre officielle envoyée au procureur de la République à ce sujet. Un cas de viol aussi ouvert. Jusqu’à présent, les trois hommes ne sont pas identifiés.
C’est l’un des histoires tristes de beaucoup de gens au Congo. Le viol est un moyen de mettre les gens sous la peur, les opposants humiliés et de punir les activistes. Est-ce que cela demande une plus grande attention parmi les personnes et les organisations qui luttent pour les femmes et la liberté civile.