Diacre Père Jean-Marie Didh’o est le premier Prêtre francophone à avoir
été ordonné dans l’archidiocèse de Johannesburg.
Il est ordonné prêtre le samedi 23 Janvier 2010 par
son Excellence Archevêque Buti Joseph
Tlhagale dans la cathédrale du Christ Roi.
Le Père Jean – Marie Didh’o est originaire de la République
Démocratiquedu Congo où
il a étudié la philosophie avant de venir en Afrique du Sud.
En 2005, il a été admis par l’archevêque Buti Thlaga au séminaire
Jean-Vianney où il a étudié la théologie.
Il a également obtenu une
maîtrise en Anthropologie à l’Université de Witwatersrand (Wits).
Dans son travail ministériel ..
Père Jean-Marie a rompu dans la paroisse
St François d’aider à Yeoville où il a enseigné le catéchisme aux jeunes
garçons et filles se préparant pour les sacrements.
Là, il prêche en anglais dans une paroisse cosmopolitaine,
comme la plupart des paroisses centrales a Jobourg.
Il insiste sur le fait que l’unité entre les paroissiens est réelle et
vécue sur la base de tous les jours.
Presque toutes les nationalités
africaines adorent ensemble et font connaître Jésus-Christ comme « mot de
tolérance, d’unité et d’amour, une réalité quotidienne.
Il siège actuellement au Mohlakeng, paroisse Notre Dame d’Afrique, dans le
Western Rand. Pour que le père Jean-Marie devienne un curé catholique et de
servir le peuple de Dieu; c’est une vocation, car il a été suivi depuis son
enfance.
Père Jean-Marie Didh’o considere l’Afrique du Sud un peuple très
accueillant qui se connait et sert Dieu de tout cœur. Il n’a jamais
été traité comme un etranger parmi eux; mais vit l’amour, les soins et le
soutien des Sud-Africains.
Sa connaissance de la Langue de zoulou et sesotho l’a certainement aidé. Cette
expérience l’a convaincu qu’il ya un message important à apporter aux
Sud-Africains et des immigrants qui se ressemblent: l’unité et la solidarité,
avec un effort exige des deux côtés.
Les Immigrés sont obliges à intégrer la Communauté d’Accueil et d’embrasser sa
culture et sa coutume.
Les Sud-Africains eux aussi a leurs tours doivent accepter leurs compatriotes
africains et aussi apprendre des choses précieuses auprès des immigrants.
Père Didh’o est convaincu qu’il n’y aura pas
d’unité et l’intégration efficace tant qu’il n’y a pas de tolérance et
d’acceptation que les gens sont différents.
« Nos différences nous poussent à s’unir.
Nous ne pouvons pas parler de l’unité si nous n’avons pas été différents « .
Le Père est en train d’écrire un livre sur la façon de surmonter la
xénophobie, le racisme, à la lumière de la Bible.
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