D’après les informations reçues par l’AMAGEP et l’analyse des récents pourparlers diplomatiques entre le gouvernement de la République démocratique du Congo et les partenaires internationaux, il existe un accord entre tous les partenaires pour aider l’Afrique à contribuer à la lutte contre le changement climatique. On estime à 3 milliards de dollars le montant de la lutte contre le changement climatique jusqu’en 2030 rien qu’en RD Congo. Ceci est basé sur les calculs du deuxième rapport de mise à jour biennal avant les élections de 2018 en RDC. La question est de savoir d’où le gouvernement obtiendra les fonds.
Sur la base d’entretiens et de discussions de réunions régionales et internationales où les dirigeants africains et mondiaux discutent du changement climatique, le gouvernement de la RD Congo compte toujours sur des partenaires internationaux tels que le gouvernement américain, l’Union européenne et les Nations Unies pour financer le contrôle du changement climatique. Le gouvernement a déclaré son engagement à l’égard de l’atténuation des changements climatiques et de l’adaptation à ces changements. Le gouvernement l’a également enfermé dans un plan à long terme jusqu’à ce que.
Au cours des cinq dernières années, 88,1% du budget total de la RD Congo consacré au changement climatique a été consacré aux infrastructures vertes. Sa fonction est de devenir la force motrice ainsi que le principal capital pour la transformation de l’économie verte. L’AMAGEP signale cependant que le budget alloué au changement climatique est très faible et insignifiant au Congo ainsi que dans de nombreux pays du continent.
Au Congo, l’année dernière 2018, le gouvernement a publié un plan pour appeler à la participation et au soutien internationaux à la résolution du changement climatique, notamment pour protéger la forêt équatoriale, le fleuve Congo et les animaux. Cet appel dispose d’un instrument de financement très compatible de la part de partenaires internationaux et de commissaires de la MONUSCO. Sur la base de ces données, la proportion de partenaires internationaux pour financer la lutte contre le changement climatique a atteint 43,7%, contre 27,7% en 2020. L’existence d’une crise pandémique est également mentionnée comme un élan pour la République démocratique du Congo à réorganiser son bâtiment économique d’une manière plus durable et plus pro-environnementale.
En ce qui concerne les objectifs du millénaire des Nations Unies, les politiques environnementales et l’approche du changement climatique adoptées par l’AMAGEP comprennent que le potentiel des richesses naturelles tropicales en RD Congo et en Afrique renforce vraiment cet engagement. L’immensité des forêts tropicales et de la savane du pays rafraîchit les poumons du monde, ouvrant la voie aux énergies renouvelables », peut-on lire dans le document.
AMAGEP estime que le renforcement des technologies vertes et des produits respectueux de l’environnement Amagep note la négligence des autorités de la RD Congo dans la mise en œuvre des politiques environnementales en raison de la corruption à grande échelle qui est visible dans les irrégularités de l’exploitation forestière et l’exportation illégale d’arbres du pays.
More Stories
Campagne Une Vie Meilleur Pour Tous: objectif pour la Sensibilisation, mobilisation et prévention pour les affaires environnementales en Afrique
Le Dr Patrick Hamadi réunira les États-Unis et l’Afrique du Sud avec la RD Congo
AMAGEP célèbre la Journée Mandela 2023 en faveur de l’Environnement